Sifi Ghrieb préside la célébration de la Journée mondiale de la langue arabe à Alger
Le Premier ministre, M. Sifi Ghrieb, a présidé, jeudi au Centre international des conférences (CIC) « Abdelatif Rahal » à Alger, le lancement officiel des activités marquant la célébration de la Journée mondiale de la langue arabe, ainsi que la cérémonie de remise du Prix du président de la République pour la littérature et la langue arabe dans sa première édition.
Selon un communiqué des services du Premier ministère, la cérémonie s’est déroulée en présence de plusieurs membres du gouvernement, du président du Conseil supérieur de la langue arabe, le professeur Saleh Belaid, du doyen de l’Université d’Alger, le cheikh Mohamed Al-Mamoun Al-Qasimi Al-Hassani, ainsi que de nombreux professeurs universitaires, chercheurs, intellectuels et représentants des milieux littéraire et scientifique.
À cette occasion, plusieurs chercheurs et créateurs ont été distingués en reconnaissance de leurs contributions remarquables au service de la langue arabe et de la création littéraire. Dans le domaine de l’épanouissement de la langue arabe, le premier prix a été décerné à M. Sadik Boutiout pour sa recherche intitulée « Glossaire des termes et définitions des satellites ». Le deuxième prix est revenu à M. Lakhdar Far pour son étude spécialisée sur le lexique du secteur de la construction, des travaux publics et de l’irrigation, tandis que le troisième prix a été attribué à M. Ali Kachroud pour son ouvrage « Le guide des règles de l’orthographe ».
Dans le volet consacré à la littérature et à la créativité, le premier prix dans la catégorie du roman a été attribué à Mme Nana Baba Hani pour son œuvre « An-Niriya ». Le deuxième prix, dans la catégorie de la poésie, a récompensé Mme Fatima Gharbi pour son poème « Filles du Cheval », alors que le troisième prix, dans la catégorie des recueils de nouvelles, est revenu à Mme Hafiza Mimi pour son recueil « Interdiction de jeter les mélanges ».
Cette célébration a mis en lumière l’importance de la langue arabe en tant que pilier de l’identité culturelle et vecteur de création, de recherche et de transmission du savoir.
