Décès du journaliste et écrivain Abdelmadjid Kaouah : le ministre de la Communication lui rend hommage
Le monde des médias et des lettres en Algérie est en deuil. Le journaliste et écrivain Abdelmadjid Kaouah s’est éteint à l’âge de 75 ans, après un long combat contre la maladie. Le ministre de la Communication, Mohamed Meziane, a exprimé ses condoléances les plus attristées à la famille du défunt et à toute la communauté journalistique.
Dans un message empreint d’émotion, le ministre a salué la mémoire d’un homme de plume engagé :
« C’est avec une immense tristesse et une profonde affliction que j’ai appris le décès du journaliste et écrivain Abdelmadjid Kaouah. En cette douloureuse circonstance, j’adresse à sa famille, à ses collègues et à ses proches mes sincères condoléances et l’expression de ma profonde compassion. »
Un parcours riche au service de la presse et de la culture
Figure respectée du paysage médiatique algérien, Abdelmadjid Kaouah avait occupé plusieurs fonctions dans la presse nationale. Il a notamment été directeur du journal « El Wihda », correspondant permanent du Quotidien d’Oran, ainsi que chroniqueur régulier dans « Le Soir d’Algérie » et « Algérie News ».
Parallèlement à sa carrière journalistique, il a laissé une empreinte durable dans la littérature algérienne, en tant qu’auteur de plusieurs ouvrages et contributeur dans de nombreuses revues spécialisées, tant en Algérie qu’à l’étranger. Son style raffiné, sa plume sensible et son regard critique sur la société faisaient de lui une voix singulière, à la croisée du journalisme et de la poésie.
Une perte pour la culture nationale
Le décès d’Abdelmadjid Kaouah marque la disparition d’un intellectuel engagé, profondément attaché à la liberté d’expression et au rayonnement de la culture algérienne. Son œuvre littéraire, tout comme ses articles et chroniques, continueront d’inspirer les jeunes générations de journalistes et d’écrivains.
En ces moments de recueillement, la rédaction adresse ses condoléances les plus sincères à la famille du défunt et salue la mémoire d’un homme de lettres et de vérité, dont l’engagement restera gravé dans l’histoire de la presse algérienne.
