Actualités Infos régions 

UNE GRANDE VILLE SANS PLAN DE CIRCULATION : AIN – BEIDA LA CAPITALE DES HARAKTAS ETOUFFE

Les grands artères de la ville d’Ain Beida, capitale des Haraktas menant  au centre-ville n’ont connu aucune extension et ce  depuis l’époque coloniale. Ain Beida étouffe dans la grand anarchie de la circulation automobile.  

 Circuler en voiture dans la ville d’ Ain-Beida est devenue une vraie galère particulièreme accentuée aux heures de pointe, générant une congestion importante dans le Centre-ville.
Toutes les voies principales n’échappent pas à ce phénomène ennuyeux et souvent préjudiciables, à l’instar des boulevards du Nord, celui du Sud, de l’Est et du boulevard de l’Ouest qui sont les seules échappatoires aux automobilistes et même aux piétons, tellement tout est embusqué. Il faut bien le dire vivre actuel lement à Ain Beida est très difficile et presque devenu Infernal…Au quotidien, ces quartiers sont  » obstrués  » par des bouchons terribles et même la présence des agents de l’ordre ne peut enrayer cette situation de cacophonie. 
La cause principale de ces embouteillages infernaux est liée à l’absence totale d’un nouveau plan de circulation et au manque d’issues pour jouer un rôle, en temps importun, de dégagement, car les quatre artères menant au centre-ville n’ont pas connu d’extension depuis l’époque coloniale ( elles sont trop étroites ) tout en étant aussi caractérisées par des stationnements plus que anarchiques.
Ainsi, l’infrastructure routière desservant la capitale des Haraktas n’a pas évolué pour répondre aux exigences de la croissance démographique, accompagnée d’une multiplication du parc automobile circulant sur un ancien schéma routier  largement dépassé.
Les travaux d’aménagement engagés lors de l’exécution du plan quinquennal 2005/2009, avec la création de nouveaux carrefours et l’élargissementde certaines artères de la ville, n’ont pas réglé grand-chose, vu la prolifération surtout du com-merce informel qui squatte tous les espaces et les trottoirs des avenues commerçantes, du marché des fruits et légumes sur toute la longueur des grandes voies. Cette situation contraint les piéton, ay leurs risques et périls, à se disputer la chaussée avec les automobil-istes. En un mot la ville d’Ain Beida, enviable autrefois par sa splendeur son calme et sa grande tranquilité, se trouve aujourd’-hui asphyxiée par la grande pollution de tout bord, comme est le cas des gaz d’échappement, la pollution sonore due au grand vacarme des moteurs et autres moteurs puissantes. Les embouteillages inextricables provoquent souvent des frictions entre usagers de la route et notamment en cette période du mois sacré de Ramadan ( café et necotine obligent ).De ce fait, l’urgence de la mise en place d’un nouveau plan de circulation se fait  vraiment ressentir à Ain Beida.

Articles relatifs

Leave a Comment