Boughali souligne l’importance des technologies et des langues vivantes dans le processus éducatif
Mardi, le président de l’Assemblée populaire nationale, Brahim Boughali, a souligné l’importance d’introduire les technologies et de se concentrer sur les langues vivantes dans le processus éducatif pour réaliser le développement souhaité.
Dans son intervention lors d’une journée parlementaire sur « Les programmes scolaires et les défis futurs » organisée par la commission de l’éducation, de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses de l’Assemblée populaire nationale, M. Boughali a expliqué que « les mesures prises par le président de l’Assemblée populaire République, M. Abdelmadjid Tebboune, témoignent de cette prise de conscience avancée. » Notant que « l’introduction des technologies, liant le processus éducatif aux transformations sociales et économiques, et l’accent mis sur les langues vivantes permettront l’essor souhaité et le développement souhaité. »
M. Boughali a estimé que « le processus éducatif était et reste au centre du développement dans tous ses domaines », notant que « le développement individuel est le fondement de la construction, le fondement de la civilisation et la condition du progrès et du développement ».
Il a également souligné l’importance de « prendre en compte les constantes nationales dans l’élaboration des programmes et des programmes éducatifs, notamment les questions liées à la patrie, à l’identité, à l’appartenance, à l’histoire et à la civilisation, qui sont – comme il l’a dit – « les ingrédients de la cohésion sociale et de la cohésion dans leur diversité et leur richesse.
Dans ce contexte, le Président du Conseil a salué les directives soulignées par le Président de la République relatives au « respect des références et à l’unification du système éducatif selon une stratégie claire, afin de préserver les composantes nationales et l’accès aux variables du monde d’aujourd’hui » représentés par les technologies modernes.
Pour sa part, le président de la Commission de l’éducation, de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses, Omar Mouammar, a estimé que cette journée parlementaire vise à impliquer l’Assemblée populaire nationale dans « la révision des programmes éducatifs à travers la contribution d’experts et d’éducateurs à la discussion, appelant à « réfléchir à une mise à jour des programmes éducatifs », « en accord avec les évolutions récentes et avec une large implication de la communauté éducative et des acteurs de terrain ».
Pour sa part, le professeur Achoui Mostafa, spécialiste en psychologie à l’École supérieure d’intelligence artificielle, a proposé de créer une « agence nationale pour une qualité éducative globale » pour contribuer à élever le niveau du système éducatif, qui devrait être soumis à « une évaluation objective tous les cinq ans par cette agence ».