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2023, Une année test, 2024,une année de confirmation

2023, Une année test, 2024, une année de confirmation
La prochaine année sera celle des comptes à rendre

Finalement toute la propagande qui a duré plus de deux ans, faisant de la Russie et de son président Poutine, les fossoyeurs du monde libre alors que pour le président ukrainien, un héros, reçu en grandes pompes sur toutes les capitales occidentales, lui assurant des aides substantielles, tant en argent qu’en armement. Les experts qui nous expliquaient que l’issue de conflit ne pouvait que revenir à l’Ukraine puisque tout ce qui a été octroyé à l’Ukraine ne pouvait que confirmer une victoire éclatante. Pour cela tout a été mis en œuvre, d’abord il y a eu toutes ces sanctions économiques avec des saisies de biens des russes, ensuite, l’interdiction d’exporter les ressources pétrolières et surtout mettre à la disposition de l’Ukraine tout le renseignement occidental, principalement ceux des Etats-Unis pour contrer toutes les offensives russes sauf que les résultats sur le terrain ont été à l’opposé de tout ce qui été prévu.
Autre fait majeur dans ce conflit, c’est l’isolement du président Poutine à l’international, appuyé en cela par un mandat d’arrêt international émis par la CPI pour crimes de guerres et là aussi la désillusion des occidentaux a été ressenti comme un camouflet puisque ce dernier voyage en toute sécurité à travers plusieurs capitales. Plus intelligent, Poutine avait choisi son camp, celui des pays africains, des BRICS et quelques-uns d’Asie. Ces choix lui ont permis d’enregistrer des bénéfices conséquents et c’est la Russie qui engrange des dividendes, bien traduit par une croissance qui a fait rougir tous ceux qui ont misé sur la perte de la Russie. Militairement parlant, c’est encore un autre revers qui est constaté sur le terrain des opérations. Les territoires gagnés sont toujours aux mains des russes et c’est l’Ukraine qui en subit les conséquences surtout que la fameuse contre offensive, pourtant annoncée comme un tournant dans cette guerre à tourné au flop.
A l’heure actuelle, c’est la Russie qui se pose comme le vainqueur non seulement vis à vis de l’Ukraine, mais de l’OTAN dont les chefs n’ont pas lésiné sur les moyens pour assurer une logistique inouïe. C’est un véritable revers qui ne s’arrête pas là, car les jours à venir peuvent être encore plus insupportables si jamais l’ancien président américain Trump revient aux affaires, une réelle possibilité si l’on tient compte des sondages, en sa faveur et à la défaveur de l’actuel président, Joe Biden. Ce dernier fait même l’objet d’une opération de destitution à l’instar de son âge avancé qui le caractérise par une sénilité, désormais visible et surtout très handicapante pour gérer les affaires du pays.
Il est utile d’évoquer l’autre conflit qui se déroule à Gaza et dont les répercussions se font ressentir à travers toute la planète. L’entité sioniste qui vient à son tour de connaître des revers au regard de ce qu’elle entrain de comme crimes contre l’humanité a vu plusieurs s’élever pour dénoncer le caractère voyou et criminel d’un système de gestion qui court à sa perte. Même, des israéliens n’en peuvent plus d’une administration qui ne jure que par la violence et toute sa théorie sur son idéologie sont en train de tomber en ruine tant les desseins sont en totale contradiction avec le droit international.
Il reste tous ces pays qui ont fait le choix de normaliser leurs relations avec cet Etat voyou et ce sont leurs opinions publiques qui vont se charger de les dénoncer, voire les annuler, ce n’est qu’une question de temps.
Toutefois, il est à craindre que dans les années à venir, le monde risque de connaître de fortes turbulences qui ne peuvent que déboucher sur des guerres et les menaces sont très sérieuses du moment que le monde occidental est en perte de vitesse et de crédit. On le voit surtout du côté français, un Etat qui vit les pires moments de son existence tant la rue française est en constante rébellion à cause d’une gestion catastrophique. Le malheur de la France réside sur tous ces juifs qui se sont accaparés des fonctions stratégiques d’où leur forte influence sur le cours des événements. Plusieurs français ont ressenti ce danger imminent et il n’y a qu’à voir l’ancien premier ministre, Dominique De Villepin, charrié par l’innommable BHL à l’instar d’autres français, ridiculisés par des juifs pour déclarer qu’ils sont désormais les décideurs de la France.
Les autres pays européens ne sont pas en reste, ils vivent le même problème et c’est à cause de cela que les partis d’extrême droite sont au devant de la scène pour tenter de recouvrer une certaine dignité sauf que de par leur idéologie raciste, ce seront eux qui finiront par enterrer leur propre Nations.
Pendant ce temps, des pays africains se distinguent par leur désir de se défaire de leur puissance coloniale et s’inscrivent dans une dynamique d’une autre indépendance, cette fois-ci plus complète car, ils ont décidé de jouir de leurs ressources naturelles en préférant d’autres puissances, plus égalitaires et moins gourmandes, il s’agit bien sûr de la Chine et de la Russie et là encore, la désillusion de l’occident est encore plus insupportable du moment qu’ils viennent de perdre une véritable manne financière. La France qui jouissait de toutes ces richesses durant des décennies est en passe de tout perdre sur un continent qui lui a tant donné sans recevoir et c’est la fin des haricots. Du coup, 2024 s’annonce pour la France une année bien difficile ce qui va accentuer tout ce mécontentement populaire.
D’autres pays qui ont su anticiper ces crises à l’image de l’Algérie qui est en train de connaître un renouveau faisant d’elle un pays pivot et combien influent, d’abord sur la région, le continent et même à travers le monde. Sa parole est écoutée, appréciée pour certains mais surtout menaçante pour d’autres et combien même certains pays tentent de mettre des bâtons dans les roues, les vraies puissances sont en total accord avec l’Algérie, car dans la réalité des faits, on est toujours d’accord avec les puissances et les riches n’en déplaise aux pays qui sont endettés jusqu’au cou comme le Maroc qui risque en 2024 de connaître les pires difficultés car la rue marocaine n’a pas encore dit son dernier mot.

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