« Être en vacance, c’est n’avoir rien à faire et avoir toute la journée pour le faire » citation
Depuis des années déjà, l’été est devenu une période de vacances scolaires mais aussi période de vacances préférée par les travailleurs, l’été, cette tranche du temps de l’année ramène en plus de la canicule, le besoin pressant de se rafraîchir par tout moyen, surtout devant la mer que ce soit d’ici ou d’ailleurs.
Devant une telle situation, le coté environnemental ne rime plus avec la conception estivale et vacancière car les dépotoirs de saleté se multiplient avec le nombres de visiteurs, de passagers d’ailleurs venus en bus, en voiture ou en train. Par ailleurs, des tenues de vacanciers, vacancières et des comportements insidieux des visiteurs et visiteuses font germer des polémiques perfides sur :
les tenues de bain au milieu de l’ espace public très hostile même au milieu du champs de la plage que les parasols dissimulent en tentes interposés par un tissus sale, seule les yeux publics orchestrent sous le couvert des us et coutumes ou bien encore le rite religieux permet de faire jouer certaines cordes sensibles d’ordre sociales pour mieux « amalgamer » certaines conceptions de la tolérance commune vis-à-vis du style nouveau vestimentaire relevant d’une culture venue d’ailleurs virtuellement par la TV satellitaire.
Avec le temps va, tout s’en va, l’ancien règlement ne fait plus partie des us et coutumes laissant la plage aux romantiques. Aujourd’hui, le maillot de bain et la culotte de bain pour homme, le maillot simple, le bikini, le « burkini » et un autre genre de « monokini »,des « djellabas » mouillées ( sous robe) qui deviennent transparentes, font le nouveau décor lors des ballades sur les rivages et sur les avenues commerçantes sans aucun scrupule, de peur de dénoncer dans cette intrusion au nouveau « droit de l’ homme » par sa culotte et le « droit de la femme » par son bikini ou « monokini » au lieu de porter un maillot conforme aux règles de la société dans un cadre dimensionnel ou le respect se fait valoir .
Le vacancier, le touriste et le visiteur venu pour bénéficier dans un contexte de géographie spécifique pour détente de fraicheur et surtout de plaisir par les bienfaits de la fraicheur de l’eau de mer, du sport et du soleil se conjuguent au verbe de la vie sociétal temporairement sous une canicule explosant des comportements dépassant la logique du cadre du vivre ensemble dans le domaine de l’ hygiène, du respect, du commerce ,de l’inflation exagérée due au plaisir de la plage où le « parkingueur » fixe son prix fort au soleil, et le « parassoleur » ne te permet pas de disposer d’une place au milieu de la plage publique pour planter ton parasol personnel sans lui payer un bail de mauvaise propriété que l’état n’ose pas intervenir , chômage des jeunes exigent….