Palestine : L’Algérie condamne fermement le massacre sanglant commis par l’armée d’occupation sioniste dans le camp de Jénine
Le pôle pénal économique du tribunal de Sidi M’hamed a rendu, jeudi, son verdict dans l’affaire de corruption impliquant le fils de l’ancien commandant de la Gendarmerie nationale, Ghali Belkecir, l’ancien wali d’Alger, Abdelkader Zoukh et plusieurs autres hommes d’affaires. Les accusés qui ont rejeté les accusations à leur encontre, lors des auditions, sont poursuivis pour plusieurs chefs d’inculpation dont blanchiment d’argent dans le cadre d’une organisation criminelle, violation de la législation relative aux transferts des capitaux à l’étranger, dilapidation de deniers publics et obtention d’indus privilèges. Les accusés en fuite ont été condamnés à 10 ans de prison ferme, assortie d’une amende de 1 million de dinars, avec confirmation des mandats d’arrêts internationaux émis par le juge d’instruction à leur encontre. Il s’agit de Rafik Bahaeddine Belksir, fils de l’ancien chef de la gendarmerie nationale, Ghali Belksir, lui aussi en fuite, et des deux hommes d’affaires Mohamed Benssalah Mustapha et Habri Abdelkader. Jugé pour abus de fonction et octroi d’indus avantages, l’ancien wali d’Alger, Abdelkader Zoukh a écopé d’une peine de trois ans de prison ferme assortie d’une amende de 100 000 DA. L’homme d’affaires Benabdellah Omar est condamné, quant à lui, à six ans de prison ferme et 1 million de dinars d’amende, alors que les deux accusés Hanina Youcef et Addou Djamel, sont condamnés à une peine de quatre ans de prison ferme assortie d’une amende de 1 million de dinars. Pendant ce temps, le tribunal a prononcé l’acquittement de Atiya Salah. Enfin, une dizaine de sociétés appartenant aux hommes d’affaires condamnés ont été condamnés par le juge à verser la somme de 32 millions de dinars chacune au Trésor public.