L’ALGÉRIE DEVANT UN ENNEMI PLUS PUISSANT / LA DROGUE ET SES EFFETS PERVERS
Il est à signaler que d’une drogue douce, on est parvenu à des drogues dures par le fait que d’un élément bio, on arrive à des drogues dures par le seul fait que l’on ajoute des produits chimiques d’une forte teneur en opiacés ou en substances proches des LSD. Les résultats sont horribles et combien insolubles devant des agressions que l’on arrive toujours pas à comprendre. Il faut se référer à la deuxième guerre mondiale pour comprendre le phénomène quant les soldats du troisième Reich prenaient des substances hallucinogènes pour comprendre le degré de leur force ou de leur courage à braver tous les dangers et c’est ce qui se passe dans une société qui a plus besoins de sérénité que de brutalité. Les conséquences sont énormes devant les risques encourus au regard d’une insécurité qui gagne du terrain et dont les services de sécurité ont du mal à juguler un phénomène qui a tendance à décupler. Que faire devant une telle catastrophe qui rend bien des humains des forces du mal en puissance ? Presque rien si ce n’est l’accompagnement des parents qui doivent assumer leurs responsabilités, ce qui n’est, malheureusement pas le cas. On laisse cette même responsabilité à l’Etat. Un détour qui nous renseigne sur l’incapacité des parents à s’assumer et à rendre compte. Un constat désolant qui nous fait froid dans le dos quand on voit toutes ces conséquences désastreuses qui enveniment un noyau familial en pleine déperdition. L’Etat, essaie de remédier à cette plie immense en faisant dans la répression, de la prévention et surtout en octroyant des séances de cures à même de juguler un phénomène qui devient interplanétaire. Le cas des Etats-Unis est éloquent à bien des égards quand on voit tous ces cartels qui défient les plus grandes puissances du monde. La bataille est ainsi perdue parce que les enjeux sont énormes. Il n’y a qu’à voir tous ces dividendes engrangés par ces narcotrafiquants pour comprendre que l’intérêt prime sur toute autre considération. Que faire ?, c’est simple pour certains et compliqués pour d’autres. Faire de telle sorte que la drogue soit légale pour un temps, le temps de faire un inventaire exhaustif de tous ces besoins pour des frustrés à qui l’on doit rendre des comptes, un peu comme tous ces LGBT à qui l’on accorde un intérêt particulier pour des besoins électoraux, car au final, ce sont tous ces politiques qui mènent le bal. L’Algérie, pourtant, à l’abri de ce type de dépravation, est devenues une plaque tournante d’un trafic qui touche même sa propre sécurité puisque le mal provient d’un voisin peu orthodoxe ayant vendu son âme au diable, sauf que les conséquences sont, malheureusement dévastatrices. C’est un autre combat qu’il faut mener avec la plus grande rigueur, sans répit ni laxisme puisque dans ce cas précis, la bataille reste déterminante pour un avenir qui s’annonce bien sombre.
