Une Manipulation Contre L’Algérie : Entre Provocations et Tentatives de Déstabilisation
Les attaques contre l’Algérie semblent se multiplier ces dernières années, et derrière chacune d’elles se cache une stratégie subtile visant à fragiliser le pays sur la scène internationale. Après l’échec de certaines tentatives, comme le dossier Sansal et les provocations de certains responsables politiques français, les détracteurs de l’Algérie ne cessent de redoubler d’efforts pour nuire aux relations entre les deux pays.
Le récent incident impliquant l’arrestation d’un agent consulaire algérien en France, un an après des événements soi-disant liés à ce dossier, soulève de nombreuses interrogations. Pourquoi ce dossier a-t-il été rouvert si tardivement, alors qu’il repose sur des accusations sans fondement, provenant de simples déclarations d’un individu aux antécédents douteux, et sans aucune preuve solide ? Il est difficile de ne pas voir dans cette manœuvre une tentative de perturbation, surtout dans le contexte de la relance des relations entre les présidents algérien et français, qui ont récemment signé un accord de coopération renforcée.
En outre, la question de savoir pourquoi l’Algérie, dans l’hypothèse farfelue de ce dossier, aurait choisi de « kidnapper » un individu sans importance et de le relâcher ensuite semble absurde. Si l’Algérie avait véritablement l’intention d’opérer dans ce genre d’actions, ce seraient des individus beaucoup plus stratégiques que la France refuserait d’extrader. Une fois de plus, ce scénario relève plus de la fiction que de la réalité.
Ce qui interpelle davantage, c’est le contexte temporel. Cette affaire a éclaté juste après l’appel d’Emmanuel Macron à Abdelmadjid Tebboune, lors de l’Aïd, pour renforcer le dialogue et restaurer la confiance bilatérale. Quelques jours plus tard, le dossier est ressorti comme par magie, annulant tout l’effort diplomatique des deux dirigeants.
Cette tentative d’isolement de l’Algérie n’est pas nouvelle. Il suffit de remonter à quelques années pour se souvenir des actions de la France, par exemple lorsqu’elle a facilité la fuite d’une ressortissante algérienne alors qu’elle faisait face à une justice dans son pays. À l’époque, la France invoquait des raisons humanitaires, mais nombreux sont ceux qui soupçonnent un autre dessein. En fait, au fil des années, la France a régulièrement œuvré contre les intérêts de l’Algérie, notamment durant les années de braise, où elle accueillait et protégeait des terroristes responsables de meurtres et de destructions en Algérie.
Mais les attaques contre l’Algérie ne viennent pas seulement de l’Hexagone. L’incident du drone abattu en mars 2025 est un autre exemple d’une manipulation évidente. Un drone, dirigé en toute connaissance de cause dans l’espace aérien algérien, est abattu par les forces de défense du pays, ce qui permet à certains médias, notamment français et sionistes, de tenter une nouvelle campagne de déstabilisation contre l’Algérie.
Dans un autre registre, la visite de Bruno Retailleau, ministre français, au Maroc, à peine quelques jours après la tension autour du dossier du drone, ajoute une couche à cette manœuvre de manipulation. Pendant sa visite, les médias français ont mis en avant l’augmentation des laisser-passer consulaires entre la France et le Maroc, un sujet qui vise clairement l’Algérie, en tentant de présenter ce pays comme un mauvais élève en matière de politique migratoire.
L’Algérie, quant à elle, reste fermement sur sa position. Elle continue de défendre les droits de ses citoyens et refuse de se plier aux diktats de puissances extérieures. Le renvoi des OQTF (obligations de quitter le territoire français) est un exemple de cette indépendance retrouvée. L’Algérie se dirige désormais vers un avenir de plus en plus autonome, avec des progrès notables dans des domaines clés tels que l’autosuffisance alimentaire, médicale et technologique.
La récente expulsion de 12 agents de l’ambassade de France en Algérie est un signe fort que le pays est désormais maître de son destin. Ce geste montre que l’Algérie n’a pas peur de défendre ses intérêts et qu’elle refuse de s’incliner face aux pressions extérieures. À travers ces actions, l’Algérie prouve qu’elle est déterminée à maintenir une politique extérieure fondée sur l’égalité, la liberté et la souveraineté nationale.
