Décès du journaliste Noureddine Merdaci : La Présidence de la République et le ministre de la Communication présentent leurs condoléances
Par : Amani H.
La Direction générale de la communication à la Présidence de la République a exprimé, ce lundi, ses sincères condoléances à la famille du journaliste Noureddine Merdaci, décédé dimanche à l’âge de 82 ans, après une longue et prolifique carrière dans le domaine du journalisme.
Dans un message de condoléances, la Présidence a exprimé sa profonde tristesse et compassion, soulignant le parcours exceptionnel de Noureddine Merdaci au sein de plusieurs journaux, notamment le prestigieux quotidien El Moudjahid. « C’est avec une immense tristesse et affliction que nous avons appris le décès de Noureddine Merdaci, qui a marqué de son empreinte le journalisme algérien », indique le communiqué. La Direction générale de la communication a présenté ses condoléances à la famille du défunt, priant Allah Tout-Puissant de lui accorder Sa miséricorde et de l’accueillir en Son vaste Paradis.
Le ministre de la Communication, Mohamed Meziane, a également adressé, ce lundi, ses condoléances à la famille de Noureddine Merdaci. Le ministre a exprimé sa profonde compassion et prié pour que le défunt repose en paix et bénéficie de la miséricorde divine. Il a salué l’héritage de Merdaci, reconnu pour ses analyses pertinentes sur l’actualité nationale et internationale.
Né en 1942, Noureddine Merdaci a débuté sa carrière journalistique en 1965 au sein du quotidien El Moudjahid, où il a travaillé pendant plus d’une décennie. Par la suite, il a rejoint l’hebdomadaire Algérie Actualités en tant qu’éditorialiste, un poste qu’il a occupé jusqu’en 1990. Après une brève expérience à la tête de la revue Variété Magazine, Merdaci est retourné à Algérie Actualités pour diriger la rédaction. En 2020, il a intégré le quotidien L’Expression, où il a occupé plusieurs postes de responsabilité.
Noureddine Merdaci était très apprécié dans le milieu journalistique pour son humilité, son dévouement et sa rigueur professionnelle. Sa disparition laisse un vide dans le paysage médiatique algérien, mais son héritage, à travers ses contributions journalistiques, perdurera.
