Le Congrès africain des start-ups poursuit ses travaux à Alger
Par : Amani H.
La 3e édition du Congrès africain des start-ups continue ses activités ce vendredi au Centre international des conférences Abdelatif Rehal à Alger. Ce rassemblement, qui se déroule sous le thème « Réinventer l’Afrique à travers l’intelligence artificielle », réunit des entrepreneurs, des experts et des responsables gouvernementaux pour explorer les opportunités offertes par les technologies émergentes en Afrique.
Ce deuxième jour de l’événement sera marqué par le Sommet ministériel africain des start-ups, présidé par Nourredine Waadi, ministre de l’Économie de la connaissance, des start-ups et des petites et moyennes entreprises. Cette session fermée permettra aux ministres et hauts responsables des pays africains de débattre des politiques et initiatives visant à encourager le développement des start-ups sur le continent.
Une autre session notable, intitulée « Construire des ponts : Le rôle de la diaspora algérienne et africaine », sera animée par Sofiane Chiboub, secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé de la diaspora. Elle mettra en lumière l’impact de la diaspora sur le développement économique et la transformation numérique de l’Afrique.
De nombreux ateliers, conférences et rencontres se dérouleront tout au long de la journée, abordant des sujets cruciaux comme l’intelligence artificielle, l’innovation et la numérisation. Parallèlement, le salon des start-ups continuera d’offrir aux participants une plateforme pour exposer leurs projets et idées novatrices, en particulier dans le domaine des technologies modernes et de l’intelligence artificielle.
L’événement, organisé sous le patronage du président de la République Abdelmadjid Tebboune, est initié par le ministère de l’Économie de la connaissance, des start-ups et des petites et moyennes entreprises, en collaboration avec l’accélérateur public « Algeria Venture ». Il représente un moment clé pour positionner l’Algérie comme un centre d’innovation en Afrique et stimuler les partenariats entre les acteurs du secteur numérique sur le continent.
