Goudjil: la présidentielle anticipée, une décision qui n’a aucun lien avec les spéculations
La redaction
Le président du Conseil de la nation, M. Salah Goudjil a salué, hier mardi, la sagesse du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, dans la gestion des affaires du pays, estimant que l’Algérie vit, sous sa direction, «une étape sous le signe de la liberté dans la prise des décisions cruciales», a indiqué un communiqué de la chambre haute du Parlement.
Et d’affirmer que «la date précédemment choisie coïncide avec le renouvellement partiel du Conseil de la nation», ce qui est, a-t-il dit, «techniquement déraisonnable, en sus d’autres considérations techniques».
Dans ce sillage, M. Goudjil a évoqué la question de la Mémoire nationale, soulignant «le caractère colonial de l’occupation française qui visait essentiellement à exterminer le peuple algérien musulman et à le remplacer par des Européens chrétiens», d’où «la nécessité de faire la distinction entre le colonialisme français et le peuple français». Le président du Conseil de la nation a, par ailleurs, évoqué ce que le peuple palestinien subit de la part de l’occupation coloniale sioniste, estimant que «les crimes commis aujourd’hui par la machine de guerre sioniste sont des crimes contre l’humanité, et que ce que vit aujourd’hui la Palestine, plus précisément la bande de Ghaza, en présence des médias internationaux, est similaire à ce que l’Algérie avait vécu par le passé dans un blackout médiatique total».
Radio A
