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Propagation massive du « glaucome » au sein de la population : les spécialistes tirent la sonnette d’alarme

Par : La rédaction

Les médecins spécialisés de l’hôpital « Ali Al-Nemr », dans  la daïra de Meraouna, à 40 km à l’ouest de Batna, ont tiré la sonnette d’alarme face à la propagation massive du glaucome au sein de la population, suite à une augmentation significative du nombre de personnes atteintes de cette maladie qui cause des dommages à la population. En raison de l’atteinte du nerf vital, d’une confusion dans la vision de près et de loin et d’un trouble grave entraînant une perte directe de la vision, les services de santé spécialisés ont commencé à étudier la situation, pour découvrir les causes de cette maladie et dans ce domaine particulier.

La ville de Meraouna  et ses communes voisines enregistrent chaque semaine des dizaines de cas, souvent à l’insu de leurs porteurs , ce qui, selon le médecin spécialiste Merdassi, appelle à recourir à un diagnostic précoce de la maladie pour éviter la propagation des complications qui peut conduire à la cécité, en particulier pour les tranches d’âge comprises entre quarante et soixante ans.

Le médecin spécialisé en ophtalmologie et chirurgie de l’hôpital Ali Al-Nemr a exhorté les citoyens souffrant d’une rougeur soudaine des yeux à consulter rapidement un médecin spécialisé en ophtalmologie et chirurgie, notant que l’hypertension oculaire est l’une des causes du glaucome, ou glaucome. D’autant plus que le glaucome à angle fermé, qui s’accompagne de rougeurs, de douleurs et d’une mauvaise vision, peut entraîner une perte de vision en quelques heures seulement, alors qu’un diagnostic précoce reste l’un des devoirs fondamentaux, surtout après avoir constaté l’infection de nombreux habitants de la commune et les zones voisines sans souffrir de symptômes antérieurs ou apparents. Les symptômes génétiques jouent un rôle dans le fait que de nombreuses personnes sont touchées sans s’en rendre compte à un stade précoce.

Selon les cas, le traitement nécessite un traitement rapide de la maladie, que ce soit en consultant un médecin qui pourra prescrire des médicaments traités par instillation, ou par un « laser », ou encore par une intervention chirurgicale directe pour réparer le nerf optique. Il est à noter que les personnes souffrant de diabète et d’hypertension artérielle sont les groupes les plus vulnérables aux répercussions de l’hypertension oculaire, ce qui nécessite de la prudence et de ne tolérer aucun symptôme initial de cette maladie, ce qui nécessite de mener une campagne de sensibilisation ou d’organiser des convois médicaux mobiles pour rendre visite aux familles, d’autant plus que certains cas ont été enregistrés chez des enfants depuis l’accouchement pour des raisons génétiques, selon le même spécialiste.

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