L’Algérie a pris plusieurs mesures pour intensifier la recherche scientifique conjointe avec les institutions internationales
Par : F. A
Le chef du Conseil national de la recherche scientifique et des technologies, Mohamed Tahar Abdaliya, a confirmé samedi dans la capitale que son organisme pariait sur l’intensification de la recherche scientifique conjointe avec les institutions internationales, notant que de nombreuses réunions se déroulent actuellement dans cet égard.
Dans un discours qu’il a prononcé à l’occasion de l’ouverture de la troisième session ordinaire de l’Assemblée générale du Conseil, Abadliya a déclaré : « Nous avons pris de nombreuses mesures pour coopérer avec des pays amis qui ont des institutions similaires au Conseil national pour la recherche scientifique et Technologies, et de nombreuses réunions ont actuellement lieu à ce sujet.
Le président du Conseil national de la recherche scientifique et des technologies a poursuivi en affirmant : « Le message du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a été clair lorsqu’il a évoqué l’intensification de la recherche scientifique conjointe avec les institutions internationales spécialisées, dans le but d’accroître les possibilités de stocker l’énergie solaire et d’investir dans l’énergie électronucléaire à des fins médicales, ainsi qu’encourager les jeunes à soutenir les institutions. » Les faire émerger et les développer tout en assurant un climat propice qui contribue au décollage de l’économie nationale.
Le chef du conseil a souligné « La diversification économique ne peut être réalisée sans intégrer l’innovation, la recherche et le développement dans les domaines prioritaires », a-t-il ajouté, ajoutant que cette politique « conduira à la création de nouvelles institutions et de technologies avancées tout en améliorant globalement la compétitivité du pays ». à cette occasion, le Centre National de la Recherche Scientifique et des Technologies « a des réalisations importantes, notamment la réalisation de la première étape liée à la gouvernance, qui vise à diffuser la culture de la décision conjointe tout en bénéficiant de la compétence collective ».
Le même responsable a expliqué que la deuxième étape, qui fait l’objet de cette Assemblée générale dans sa troisième session, concerne « l’établissement des différents mécanismes (commissions) prévus dans la Constitution et dont la loi détermine les tâches ».