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Sur fond d’opérations douanières suspectes pour des voitures importées, détention préventive de hauts cadres des douanes !

Les autorités supérieures ont ordonné la détention préventive de chacun du directeur régional au port d’Alger, de l’inspecteur général des douanes, « F. Y, et le chef de l’inspection des services des douanes de l’aéroport international, Houari Boumediene, H. Z », sur fond de leur suivi dans une affaire de corruption, liée à des opérations suspectes de douanes de voitures importées et de manipulation de factures avec fraude fiscale.
A cet égard, des sources d’Echorouk ont ​​révélé que le motif principal de l’émission de la décision d’arrestation préventive pour le directeur régional du port d’Alger, l’inspecteur général des douanes, ainsi que le chef de l’inspection des services des douanes de l’International l’aéroport, Houari Boumediene, qui occupait la même fonction au port d’Alger, est du fait de la situation des personnes concernées sous la procédure de contrôle judiciaire et des inculpations à leur encontre par le juge d’instruction de la première chambre du pôle pénal économique et financier à Sidi M’hamed, leurs passeports leur ont été retirés et ils ont été empêchés de voyager, jusqu’à la clôture de l’enquête et le prononcé des jugements dans l’affaire de corruption qui a touché le secteur douanier.
On sait que l’affaire, évoquée précédemment par Al-Shorouk, remonte au mois de mai dernier, lorsque les enquêtes menées par le peloton de recherche de la Gendarmerie nationale ont déclenché un scandale de grande envergure qui a touché le secteur des douanes, puisque plus de 30 douanes des cadres, y compris des femmes et d’autres, ont été impliqués. Des agents de transit, dans des opérations suspectes de douane, d’importation de voitures et de manipulation de factures avec évasion fiscale.
Le dossier est actuellement instruit par le juge d’instruction de la première chambre du pôle pénal économique et financier de Sidi M’hamed, qui a ordonné, le 31 mai, la mise en détention provisoire de 13 douaniers, dont une femme, tandis que d’autres étaient placé sous surveillance, dont une femme enceinte, comme il l’a ordonné. Le 1er juin, 12 agents de transit ont été placés en détention provisoire, après avoir été inculpés des chefs d’accusation inclus dans le Code pénal, Lutte contre la corruption et Prévention 01/06, tels que la violation des douanes législation, falsification de factures, évasion fiscale, abus de fonction d’une manière qui viole les lois, acceptation d’un privilège Indigne et autres, alors qu’il a décidé de placer l’ancien chef de l’inspection des services des douanes du port d’Alger, avant qu’il ne soit muté à occupent le même poste à l’aéroport international «Houari Boumediene», ainsi que le directeur régional du port d’Alger, sous contrôle judiciaire.
Les faits du dossier sont liés à l’importation de voitures, y compris des voitures «de luxe» telles que «Lamborghini, Porsche, Mercedes» et autres, à customiser par le personnel des douanes travaillant au port d’Alger et assurant le suivi du dossier en manipulant les dispositions de l’article 16 de la loi douanière, qui détermine comment atteindre la valeur.La douane, en s’appuyant sur des factures incorrectes par une «terrible réduction» des factures, a atteint la moitié du prix réel de la voiture, ce qui a causé l’évasion fiscale, afin d’obtenir des réductions de la valeur des droits de douane et des droits TVA-DD, qui ont coûté au Trésor public des milliards de dinars, Ces montants seront déterminés par l’expertise judiciaire.
De plus, les douaniers impliqués dans le dossier dédouanent les voitures sans se référer au guide de référence international des prix des voitures ARGUS, qui détermine les valeurs et les prix des voitures sur le marché international, selon le type, le modèle et la puissance du moteur. Il comprend également tous les modèles de voitures fabriquées et commercialisées à l’étranger, et ces prix sont adoptés comme référence pour la gestion des Risques de la part de l’Etat, en les comparant à ceux déclarés par les particuliers, et en surveillant tout faux dossier, et plus de que, les intérêts post- ou post-contrôle du secteur n’ont pas revu les déclarations en douane de ces voitures, qui étaient douanières et retirées des zones de dépôt en douane si elles étaient conformes aux textes réglementaires, ainsi que leur type, leurs valeurs et le degré de conformité avec les déclarations faites.

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