Mme le wali sur le terrain : Suivi rigoureux des projets
Par : S. CHIAHI
En vue d’insuffler une nouvelle dynamique à l’action de développement de la wilaya, Mme Houria Aggoun ; wali de Guelma, était dans l’après-midi d’avant-hier sur le terrain des projets pour évaluer le cours de ces derniers ; ceux qui sont en voie d’achèvement et ceux autres en cours de réalisation. Accompagnée du secrétaire général de la wilaya, en présence des responsables de l’habitat et de l’urbanisme, la cheffe de l’exécutif s’est déplacée à Bouchegouf pour se rendre au pôle urbain Alaïmia Hacène où sont implantées 700 unités de l’Agence d’Amélioration et de Développement du Logement (AADL). Sur place, constatant l’achèvement des travaux, la wali a insistera sur l’aménagement extérieur du site . À ce titre , elle a instruit les services concernés à déployer plus d’efforts pour venir à bout des obstacles rencontrés en vue de garantir la perfection des opérations engagées dont la finalisation permettra aux citoyens d’évoluer dans un cadre vie décent et approprié. De retour au chef-lieu où, après s’être enquise de la situation des poches foncières non exploitées, la première responsable de la wilaya s’est rendue à la cité Oued-Maïz ; banlieue de la ville dont fait partie le lieu dit Sidi Litim , situé sur le CW ( Chemin de Wilaya ) 136 reliant Guelma à Ain-Larbi. et où des constructions illicites ont été sauvagement érigées sur des terres appartenant au domaine de l’Etat, comme rapporté dans l’une de nos précédentes éditions. À ce propos, Mme le wali a renouvelé ses pressantes instructions quant à la libération immédiate du site en vue de la domiciliation de nouveaux projets d’utilité publique. Il est à rappeler que cette responsabilité est du ressort du chef de daïra et du président d’APC ; lesquels, d’ailleurs ont été instruits de la démolition immédiate de ces constructions illégales et anarchiques qui enlaidissent le paysage urbanistique et ternissent le cadre bâti de nos cités. Une lutte énergique contre cette pratique négative et la prolifération du phénomène s’impose.
