Réunion Virtuelle de l’OPEP+ : Mohamed Arkab a Participé à la 58ème Réunion du Comité Ministériel Conjoint
Par : Amani H.
Le ministre d’État, ministre de l’Énergie, des Mines et des Énergies renouvelables, Mohamed Arkab, a pris part ce mardi, par visioconférence, à la 58ème réunion du Comité ministériel conjoint de suivi des pays de l’OPEP et non-OPEP. Ce comité inclut des pays producteurs majeurs de pétrole, tant au sein de l’OPEP que parmi ses alliés non-OPEP.
Objectifs de la Réunion
Cette rencontre a réuni les ministres du pétrole des neuf États membres du Comité ministériel conjoint, à savoir :
- Algérie
- Arabie Saoudite
- Émirats Arabes Unis
- Irak
- Kazakhstan
- Koweït
- Nigéria
- Russie
- Venezuela
Les discussions ont été principalement axées sur l’examen du degré de conformité des pays de l’OPEP+ aux engagements de réduction de production pour les mois de novembre et décembre 2024. Ce suivi faisait partie des efforts communs visant à maintenir la stabilité du marché mondial du pétrole.
Suivi de l’Accord de Réduction de Production
Les ministres ont examiné la mise en œuvre de l’accord de réduction de la production en vertu de la Déclaration de coopération entre les membres de l’OPEP+ pour ces deux derniers mois de l’année. L’objectif était de garantir l’équilibre entre l’offre et la demande mondiales en pétrole, et ainsi prévenir des fluctuations excessives des prix.
Évaluation du Marché Pétrolier International
Les perspectives à court terme du marché pétrolier international ont également été abordées. Les ministres ont échangé sur les évolutions récentes du marché, prenant en compte les facteurs géopolitiques, économiques et environnementaux ayant pu influencer les prix du brut dans les derniers mois.
Cette réunion a été cruciale alors que les pays de l’OPEP+ ont tenté de naviguer dans un contexte économique et géopolitique complexe, tout en équilibrant la production de pétrole avec la nécessité de maintenir la stabilité des prix mondiaux.
La réunion a été un moment clé pour ajuster les stratégies de production et garantir que les engagements de réduction de la production ont été respectés, dans un contexte où la demande de pétrole continuait de fluctuer en raison des tensions mondiales, des politiques énergétiques et des transitions vers des énergies renouvelables.